Préservatifs, lubrifiants, et autres produits intimes sont soupçonnés de jouer un rôle dans la baisse de fertilité observée en France depuis plusieurs années, ainsi que dans l'apparition de certains cancers.
En cause ? Les perturbateurs endocriniens présents dans leur composition ...
Un perturbateur endocrinien est une substance chimique aux effets néfastes sur l'organisme, qui peut modifier le fonctionnement hormonal de ceux qui y sont exposés.
Le bisphénol A, les parabènes, les phtalates, ... sont des perturbateurs endocriniens dont on parle de plus en plus.
Ils sont impliqués dans l'apparition de troubles parfois très graves, pouvant aller jusqu'à provoquer des cancers dits "hormonaux dépendants", comme par exemple le cancer du sein ou le cancer de la prostate.
Président de l'association Réseau Environnement Santé (RES), le toxicologue André Cicolella les soupçonne aujourd'hui d'être également responsables de la baisse de fertilité que l'on constate en France : 1 couple sur 5 a aujourd'hui des difficultés à procréer (c'est-à-dire qu'ils ne parviennent pas à concevoir un enfant pendant 1 an).
Génération Cobayes a donc lancé une campagne pour que les jeunes générations puissent vivre leur vie sans être exposées à ces perturbateurs endocriniens, et ils demandent aux fabricants de préservatifs, de lubrifiants et de produits intimes de ne plus utiliser ces substances chimiques, et de détailler la composition de leurs produits sur l'emballage, comme cela se fait pour les cosmétiques.
Pas d'affolement toutefois ! Rappelons que le préservatif reste la meilleure protection contre les MST (maladies sexuellement transmissibles : syphilis, herpès génital, gonorrhée, chlamydiose, trichomonase, chancre mou, ...), contre les maladies virales (sida, condylome, hépatite B, ...), et contre les grossesses non désirées.
On peut, et on doit, donc continuer à l'utiliser : si son usage régulier risque peut-être d'exposer à long terme à des perturbations endocriniennes, un seul oubli suffit pour être contaminé, ou à démarrer une grossesse !
source : vulgaris
En cause ? Les perturbateurs endocriniens présents dans leur composition ...
Un perturbateur endocrinien est une substance chimique aux effets néfastes sur l'organisme, qui peut modifier le fonctionnement hormonal de ceux qui y sont exposés.
Le bisphénol A, les parabènes, les phtalates, ... sont des perturbateurs endocriniens dont on parle de plus en plus.
Ils sont impliqués dans l'apparition de troubles parfois très graves, pouvant aller jusqu'à provoquer des cancers dits "hormonaux dépendants", comme par exemple le cancer du sein ou le cancer de la prostate.
Président de l'association Réseau Environnement Santé (RES), le toxicologue André Cicolella les soupçonne aujourd'hui d'être également responsables de la baisse de fertilité que l'on constate en France : 1 couple sur 5 a aujourd'hui des difficultés à procréer (c'est-à-dire qu'ils ne parviennent pas à concevoir un enfant pendant 1 an).
Génération Cobayes a donc lancé une campagne pour que les jeunes générations puissent vivre leur vie sans être exposées à ces perturbateurs endocriniens, et ils demandent aux fabricants de préservatifs, de lubrifiants et de produits intimes de ne plus utiliser ces substances chimiques, et de détailler la composition de leurs produits sur l'emballage, comme cela se fait pour les cosmétiques.
Pas d'affolement toutefois ! Rappelons que le préservatif reste la meilleure protection contre les MST (maladies sexuellement transmissibles : syphilis, herpès génital, gonorrhée, chlamydiose, trichomonase, chancre mou, ...), contre les maladies virales (sida, condylome, hépatite B, ...), et contre les grossesses non désirées.
On peut, et on doit, donc continuer à l'utiliser : si son usage régulier risque peut-être d'exposer à long terme à des perturbations endocriniennes, un seul oubli suffit pour être contaminé, ou à démarrer une grossesse !
source : vulgaris