Les "attaques cérébrales" touchent chaque année 130.000 français et les femmes sont plus "à risque" que les hommes.
Quel que soit leur âges, les femmes courent un plus grand risque d'accident vasculaire cérébral (AVC) que les hommes et devraient surveiller régulièrement leur tension artérielle, selon de nouvelles recommandations publiées jeudi 6 février par l'Association américaine du coeur (American heart association). Elles ont également plus de facteurs de risques favorisant des attaques cérébrales comme des migraines, la dépression, du diabète, et de l'arythmie cardiaque, relève cette même association.
L'AVC, qu’est-ce que c’est ?
Un accident vasculaire cérébral, plus simplement appelé “AVC”, correspond à une lésion du tissu cérébral due à une interruption de la circulation sanguine vers le cerveau qui n’est alors plus alimenté en oxygène.
Comment ça s’explique ?
Deux mécanismes peuvent être à l’origine de l’interruption de la circulation sanguine :
- dans 80% des cas, il s’agit de la formation d’un “bouchon” dans une artère souvent dû à l’accumulation de graisses sur la parois des vaisseaux sanguins (infarctus cérébral),
- dans 20% des cas, l’AVC est la conséquence de la rupture d’un vaisseau sanguin entraînant un épanchement de sang dans le cerveau (hémorragie cérébrale).
Source de l’image : Société Française Neurovasculaire
Quels sont les symptômes ?
60 % des victimes d’AVC meurent ou restent handicapés, il est donc important de connaître les signes avant-coureurs et d’agir rapidement. Le symptôme le plus fréquent d’AVC est un relâchement soudain du visage, du bras ou de la jambe, le plus fréquemment d’un seul côté.
Voici les autres signes :
- engourdissement ou paralysie du visage, du bras ou de la jambe, particulièrement d’un seul côté,
- difficulté à parler ou à comprendre, confusion mentale,
- trouble de la vision,
- difficulté à marcher, vertiges, perte d’équilibre,
- mal de tête intense de cause inconnue.
Attention, dans le cas d’un AVC mineur (appelé accident ischémique transitoire), les caractéristiques sont semblables mais elles sont plus bénignes et durent généralement moins d’une heure. Ces « mini AVC » sont souvent les signes avant-coureurs d’un AVC grave.
Un accident vasculaire cérébral, plus simplement appelé “AVC”, correspond à une lésion du tissu cérébral due à une interruption de la circulation sanguine vers le cerveau qui n’est alors plus alimenté en oxygène.
Comment ça s’explique ?
Deux mécanismes peuvent être à l’origine de l’interruption de la circulation sanguine :
- dans 80% des cas, il s’agit de la formation d’un “bouchon” dans une artère souvent dû à l’accumulation de graisses sur la parois des vaisseaux sanguins (infarctus cérébral),
- dans 20% des cas, l’AVC est la conséquence de la rupture d’un vaisseau sanguin entraînant un épanchement de sang dans le cerveau (hémorragie cérébrale).
Source de l’image : Société Française Neurovasculaire
Quels sont les symptômes ?
60 % des victimes d’AVC meurent ou restent handicapés, il est donc important de connaître les signes avant-coureurs et d’agir rapidement. Le symptôme le plus fréquent d’AVC est un relâchement soudain du visage, du bras ou de la jambe, le plus fréquemment d’un seul côté.
Voici les autres signes :
- engourdissement ou paralysie du visage, du bras ou de la jambe, particulièrement d’un seul côté,
- difficulté à parler ou à comprendre, confusion mentale,
- trouble de la vision,
- difficulté à marcher, vertiges, perte d’équilibre,
- mal de tête intense de cause inconnue.
Attention, dans le cas d’un AVC mineur (appelé accident ischémique transitoire), les caractéristiques sont semblables mais elles sont plus bénignes et durent généralement moins d’une heure. Ces « mini AVC » sont souvent les signes avant-coureurs d’un AVC grave.
source : sciencesetavenir